S : " Cette fois tu ne peux pas fuir."
M : " Non."
S : " Martin, je suis désolé pour ce matin."
M : " Quel est ton empêchement ?"
S : " J'ai reçu un coup de téléphone de Jack."
M : " Et ?"
S : " Et il avait besoin de parler, je n'ai pas eut le courage de refuser de l'écouter."
M : " Quand il s'agit de Jack, tout le reste n'a pas d'importance."
S : " Martin."
M : " Ecoute Sam ce n'est pas grave, laisse tomber."
Avant qu'elle ne lui donne une réponse, il était déjà reparti. Sans qu'elle s'en rende compte, les larmes se mirent à couler sur ses joues, elle avait au fond du coeur une peine immense à cause de ce qui venait de se passer.
Le jour se levait à peine sur New york, il était 6h30 et quelqu'un tapait déjà à la porte de Martin. Celui-ci maudit la personne qui l'obligeait à se lever aussitôt, surtout qu'aujourd'hui il était d'humeur chagrine. Quel ne fut pas sa surprise de voir que c'était Sam .
S : " Bonjours matinale."
M : " Moi, je dirais plutôt réveil en fanfare."
S : " Désolé de te réveiller mais tu te souviens qu'on a un petit déjeuner à prendre ensemble."
M : " Tu plaisantes j'espère."
S : " Pas du tout " dit-elle avec un grand sourire.
M : " Sam, tu ne crois pas ..."
S : " Martin, s'il te plait.
Comment lui résister alors qu'elle était là de sa propre initiative, qu'elle avait manifestement envie qu'ils se réconcilient. Elle le regardait si tendrement qu'il craqua, puis il avait envie de ce moment à deux avec elle, il n'y en aurait peut-être pas d'autre.
M : " Ok, je vais me préparer."
S : "Merci."
Martin fut près assez rapidement ce qui leur permit de partir pas trop tard.Ils avaient portés leur choix sur une petite brasserie française au charme désuet, au nom qui faisait sourire "Paris à New york ", tout un programme en somme.
M : " Cet endroit est charmant."
S : " Je trouve aussi."